Le plus souvent, la lettre « c » emprunte le son [ss] lorsqu’elle est située devant les voyelles « e, i ». Exemples : citron, Cécile, minceur.
En revanche, la lettre « c » emprunte le son [k] lorsqu’elle est placée devant les voyelles « a, u, o ». Exemples : cacahouète, colombe, couche.
Pour que la lettre « c » emprunte le son [ss] devant les voyelles « a, u, o » il faut lui rajouter une cédille : « ç ».
Exemples : maçon, français, garçon.
Comme expliqué précédemment, la lettre « c » se prononce [k] lorsqu’elle se situe devant les voyelles « a, u, o ». Et elle se prononce [ss] devant les voyelles « e, i ».
Pour avoir le son [k] devant un « e » et un « i » on utilisera donc les consonnes « qu ».
Exemples : barque, quille, coquille.
Il existe cependant quelques mots qui empruntent les consonnes « qu » devant les voyelles « a, u, o ».
Exemples : quatre, quai, quotidien.
Placé devant les voyelles « e, i » le « g » emprunte le son [j].
Exemples : orange, cage, girolle, boulangerie.
En revanche, placé devant les voyelles « a, u, o » le « g » emprunte le son [gu].
Exemples : garage, gondoler, déguster.
Pour que le « g » emprunte le son [gu] devant les voyelles « e, i » il est nécessaire de le faire suivre d’un « u ».
Exemples : guitare, déléguer, Guillaume.
Remarque : le « g » emprunte toujours le son [gu] devant une consonne.
Exemples : glace, griller, agréer.
Entre deux voyelles, la lettre « s » se prononce [z].
Exemples : Denise, pose, valise, arrosoir.
Si l’on veut obtenir le son [ss] il faut ajouter un « s ».
Exemples : embrasse, glissade, moisson.