Utiliser les majuscules
par Anaïs Martin | 8 décembre 2012L’objectif de cette fiche-exercice de Français, au programme scolaire de CP, est de permettre à l’enfant de savoir quand il est nécessaire de mettre une majuscule en début de mot.
Utiliser les majuscules
par Anaïs Martin | 8 décembre 2012L’objectif de cette fiche-exercice de Français, au programme scolaire de CP, est de permettre à l’enfant de savoir quand il est nécessaire de mettre une majuscule en début de mot.
La règle des majuscules est simple. Un mot doit commencer par une majuscule dans deux cas :
Exercice 1 : Recopie le texte suivant en mettant les majuscules où il convient.
« c’est dimanche. dimitri a mis son joli costume pour aller au mariage de sa cousine julie à bordeaux. il a vraiment hâte d’y être et de s’amuser. vivement le départ ! »
Solution :
« C’est dimanche. Dimitri a mis son joli costume pour aller au mariage de sa cousine Julie à Bordeaux. Il a vraiment hâte d’y être et de s’amuser. Vivement le départ ! »
Exercice 2 : Des majuscules se sont faufilées par erreur dans le texte. Trouve-les et entoure-les.
« C’est le jour de la rentrée dans la jolie Ville de Rennes. À Dix heures, installés dans notre classe, Nous étions cinquante-quatre. Il n'y avait que quatre ou cinq de mes anciens Camarades. Derossi en faisait partie. Notre maître, cette année, est un homme de haute taille, avec des cheveux gris plutôt longs. Une ride profonde lui barre le front. Il a une grosse Voix et nous observe tous l'un après l'autre, comme pour percer nos pensées ; Il ne rit jamais. Il s'appelle monsieur Perboni. »
Solution :
« C’est le jour de la rentrée dans la jolie Ville de Rennes. À Dix heures, installés dans notre classe, Nous étions cinquante-quatre. Il n'y avait que quatre ou cinq de mes anciens Camarades. Derossi en faisait partie. Notre maître, cette année, est un homme de haute taille, avec des cheveux gris et longs. Une ride profonde lui barre le front. Il a une grosse Voix et nous observe l'un après l'autre, comme pour percer nos pensées ; Il ne rit jamais. Il s'appelle monsieur Perboni. »